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Le Guide du commerce électronique
Raphaël RICHARD

La bourse et Internet: une passion dévorante ?


Il y a deux ans (début 1997), j'étais désormais certain de mon fait: Internet était déjà en train de révolutionner la distribution de certains produits aux Etats-Unis et les deux questions que je me posais désormais étaient: 
- quand les entreprises françaises vont-elles avoir le déclic, parce qu'au rythme où va Internet, lorsque nos fleurons nationaux se réveilleront, il sera trop tard: les pionniers américains seront devenus trop gros et il ne sera plus possible de les rattraper.
- faut-il s'exiler à New York parce que visiblement Internet n'était pas le chouchou des français ?
Samuel avait toujours le même enthousiasme et était certain que toute l'économie allait être réorganisée par Internet. Toute l'économie. IBM utilisait désormais la marque ebusiness pour ses propres besoins.

Il y a un an (début 1998), la presse économique française commença à se passionner pour l'économie digitale et pourtant, ce qui ne nous rassura, ni Samuel, ni moi-même car pendant que les français réalisaient que l'avenir, c'était Internet, Wall Street sanctifiait donnait depuis longtemps d'énormes moyens à ses entreprises de financer leur développement, tandis que les seuls capitaux disponibles en Europe était quelques dizaines de millions de société de capital développement (je n'ose pas prononcer le mot capital risque) et les subventions de la Communauté Européenne savamment distillée après des mois et des mois de sélection de dossier.

Quelques projets ambitieux de ceux qui pensaient qu'il suffisaient d'additionner des capitaux et de la technologie pour réussir sur Internet, échouèrent. Des projets plus intelligents comme Marcopoly voyaient le jour, mais évidement soutenus uniquement par l'enthousiasme d'une poignée de visionnaires (comme Christian Guillermo, Thierry Foassert et leur petite équipe). 
- quelle est la nouvelle vague de commerce électronique ?
- comment limiter les dégâts en France et que reste-t-il à prendre: nous avons pris trop de retard et de toute façon, la première bataille du commerce électronique est d'ores et déjà perdue ?
Samuel, qui avait jusqu'ici une approche relativement techniques.

Aujourd'hui...

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